histoire
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Dernières publications
Photo : Mathieu Piranda
En photos, il met en scène le Strasbourg d’hier et d’aujourd’hui
Le photographe strasbourgeois Mathieu Piranda vient de publier une série de photos de Strasbourg, en incrustant manuellement des images d'archives à des prises de vues contemporaines. L'idée est d'aligner les deux scènes, ce qui donne l'impression qu'une fenêtre a été ouverte sur le passé. C'est très réussi, Mathieu Piranda a publié une vingtaine de clichés sur son …
Photo : ArchiStrasbourg
Photo : doc remis
Photo : Delcampe
Quand les Ponts couverts étaient encore couverts
Au bout de la rue, la ville. – C'est l'un des bijoux architecturaux de Strasbourg, que l'on croit tous fort bien connaître. Les Ponts couverts sont à la Petite France ce que la cathédrale est à Strasbourg : un symbole, la carte postale. Or, rares sont les Strasbourgeois affranchis sur le pourquoi du pluriel (n'y a t'il pas qu'un seul pont ?) et le pourquoi du "couverts" (ne l'enjambe-t-on pas le nez au vent ?). Réponses et balade entre ces trois (jadis quatre) tours carrées médiévales.
Photo : Archives Strasbourg
Photo : DR
Pourquoi les mailles de Hautepierre s’appellent Brigitte, Catherine ou Éléonore
Au bout de la rue, la ville. – Construit entre 1968 et 1984, le quartier de Hautepierre est gagné sur les champs afin de loger, comme à l'Esplanade, au Polygone ou ailleurs, une population strasbourgeoise en pleine expansion. Imaginée idyllique et tranquille, la cité de Hautepierre se referme pourtant sur sa population, avant que les millions de l'ANRU n'en bouleversent l'organisation en profondeur. Balade autour de son nouvel axe structurant, l'avenue Racine.
Photo : Ji-Elle
Photo : Archives Strasbourg
Photo : MM / Rue89 Strasbourg
Photo : Wikiwand
Photo : Archives Strasbourg
Photo : carte postale – Wikipédia
Photo : Gaspard Glanz / Rue89Strasbourg
[Vidéo] Visitez le Fort Frère sur la colline d’Hausbergen
VIDÉO – En 1871, la guerre franco-allemande est terminée et l’Alsace-Moselle est perdue. Les ingénieurs de guerre allemands s’intéressent alors à la colline d’Hausbergen pour y construire l'un des forts de la nouvelle « ceinture de protection » de la ville de Strasbourg. Ce sera le fort « Grossherzog von Baden » (renommé « Fort Frère » par les Français après la libération de la ville).
Photo : in "Un village aux portes de Strasbourg", Coprur, 1996
Photo : CAS / Archi-Strasbourg