extrême droite
Mouvance néonazie en Alsace, scores historiques du Rassemblement national, menaces et violences contre des militants de gauche… S’assumant engagé contre la xénophobie, Rue89 Strasbourg enquête sur les extrêmes droites en dans l’Est de la France. Avec à la clé, des révélations exclusives sur un jeune néonazi et sa boucle Telegram « Division Aryenne Française » ou des rassemblements néonazis. Autant d’enquêtes qui ont eu un impact : le jeune « Panzer » a été arrêté et incarcéré un mois après nos révélations. Le festival néonazi « Nuit pour le sang » a été interdit et empêché sur ordre du ministre de l’Intérieur suite à notre article.
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Dernières publications
Photo : Document Remis
Notre enquête européenne sur le financement des partis d’extrême-droite
À l'aide d'un fonds pour l'investigation journalistique dans l'Union européenne, Rue89 Strasbourg a mené une enquête de plusieurs mois sur le financement de l'extrême-droite via le budget du Parlement européen. Les travaux de notre équipe de cinq journalistes en Europe sont, pour l'heure, publiés sur notre site et dans le journal La Croix.
Photo : Robert Schmidt
Comment un parti domicilié à Matzenheim a financé des identitaires européens
Entre 2012 et 2017, l’Alliance européenne des mouvements nationaux (AEMN) et sa fondation affiliée ont perçu plus de 2,5 millions d'euros du Parlement européen. Domicilié à Matzenheim puis à Strasbourg, ce rassemblement d'ultranationalistes a surtout servi pendant 5 ans à redistribuer de l'argent aux mouvements identitaires européens. Études bidon, commandes à des entreprises proches d'un parti ultranationaliste hongrois, soutien financier à une figure du "nationalisme révolutionnaire", Gabriele Adinofli… Enquête.
Photo : JFG / Rue89 Strasbourg / cc
Photo : capture d'écran
Photo : capture d'écran
Photo : Collectif Justice et Libertés/cc
Photo : Collectif Justice et Libertés/cc