
environnement
Pollution de l’air, de la nappe phréatique, agriculture intensive, pression du tourisme sur le massif vosgien, bétonisations… À l’heure où le changement climatique et l’érosion de la biodiversité ont de plus en plus d’impacts sur la société, Rue89 Strasbourg fait des enjeux environnementaux en Alsace l’un de ses axes d’enquête prioritaires.
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Dernières publications


Mais pourquoi… le parc de l’Orangerie porte-t-il ce nom ?
Avec ses allées, ses pelouses, son lac, sa cascade, son zoo, son bowling, ses terrains de sport, son restaurant gastronomique… le parc de l'Orangerie est devenu un incontournable de Strasbourg. Si bien qu'il a donné son nom à tout un quartier. Mais d'où vient ce nom ?

Quand on vantait un système de stockage des déchets « moderne » en sous-sols à Stocamine
Archives vivantes – Stocker les déchets les plus polluants dans les galeries des anciennes mines d'Alsace, puis les ressortir le jour où une solution sera trouvée. C'était une idée novatrice dans les années 1990 à Wittelsheim jusqu'à qu'un incendie en 2002. La situation est loin d'être réglée.

Dans le Strasbourg piétonnisé, passants, terrasses et cyclistes se marchent sur les pieds
Plus de voitures, plus de problème ? Si seulement. Dans le centre-ville démotorisé, l'espace désormais libéré occasionne de nouveaux conflits entre piétons, riverains, cyclistes et commerçants. Petite déambulation dans le Strasbourg estival où l'enfer, c'est les autres.

Photo : Pierre Ozenne, organisateur


Mais pourquoi… le quartier de la Petite-France porte ce nom ?
Quartier typique de Strasbourg, la Petite-France est la carte postale alsacienne par excellence. Dans cet épisode, « Mais pourquoi » s’intéresse à ce haut lieu du tourisme Strasbourgeois. Mais pourquoi le quartier de la Petite-France se nomme ainsi ?



À vélo-remorque dans les rues de Strasbourg pour récupérer les épluchures des restaurants
Que faire des déchets alimentaires des restaurants ? Porté par l'association Bretz'selle, le projet Silke propose de les collecter à vélo pour les composter à l'extérieur du centre. Reportage lors d'une tournée pluvieuse.



Photo : Pierre Pauma



Photo : Marie Hoffsess
À la Robertsau, le « tram-jardin » s’arrête à mi-chemin
À partir du 17 juin, le tram E s’enfoncera jusqu’à l’Escale, au cœur de la Robertsau. Trois stations supplémentaires seront desservies, pour 19 millions d’euros investis. Mais l'efficacité de cette extension est contestée par de nombreux acteurs. Visite virtuelle, avant la sortie guidée sur place le 6 juin, réservée aux abonnés de Rue89 Strasbourg.