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DNA.FR
Ce sera l’Alsace et la Lorraine. Le Président de la République a rendu publique ce lundi 2 juin la liste des régions qui devraient fusionner lors de la réforme territorial à venir. Le premier ministre Manuel Valls a prévenu : la liste n’est pas définitive et pourrait évoluer.
L’annonce par la Présidence de la République de la fusion des régions Alsace et Lorraine n’a pas manqué de faire réagir ce mardi 3 juin. Si la plupart des élus lorrains ou alsaciens saluent la mesure, il reste à décider quelle ville deviendrait la capitale de la nouvelle entité. Dans une interview aux DNA, le maire (PS) de Strasbourg, Roland Ries, a défendu le statut de la ville :
« Je ne peux accepter que Strasbourg, avec son statut européen, appartienne à une région dont elle ne serait pas la capitale. »
L’édile et le président (UMP) de la Région Alsace actuelle, Philippe Richert, sont tombés d’accord pour saluer l’arbitrage final de ne pas rapprocher les deux régions d’avec la Champagne-Ardenne. Cette piste avait été dans un premier temps explorée par l’exécutif d’après le Journal du Dimanche du 1er juin.
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