Le Mad Ciné-Club de Strasbourg réactive, ce soir au Star Saint-Exupéry, l’esprit de ses rendez-vous d’antan avec une double-programmation underground. Mais l’association organisatrice de l’Étrange festival s’inquiète pour son avenir, face à la concurrence du tonique Festival du film fantastique européen.

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La route du Rhin, espèce d’autoroute urbaine, fait figure d’anachronisme dans la ville alors que se développe à grande vitesse l’ensemble des fronts de Neudorf. La municipalité a envisagé d’interdire le transit des poids-lourds depuis son arrivée aux responsabilités… La question était devenue un serpent de mer mais il semble qu’on s’approche de la conclusion : Philippe Bies, adjoint du quartier de Neudorf, a annoncé la phase finale.

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Nous vous en parlions il y a quelques semaines, mais désormais ça y est : Midlife Poncho vous attend, tout chaud et fraîchement pressé, en douze titres colorés et fleuris qui vous feront tomber amoureux des saisons. A cette occasion, Herzfeld Orchestra sera samedi sur la scène du Hall des Chars. (suite…)

Dans la CUS, 16 crèches parentales accueillent 220 enfants, de deux mois à 4 ans. En plus de la Ville, c’est la Caisse d’allocations familiales qui finance ces associations de parents. Or, depuis 2010, l’État, par le biais de la CAF, met la pression sur ces petites structures pour rationaliser les coûts. Une politique qui pourrait mettre en péril certaines crèches.

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Le Parti socialiste, les Verts, l’UMP du Bas-Rhin, le MoDem et le Front de gauche organisent des soirées électorales dimanche 22 avril pour suivre les résultats de l’élection présidentielle. L’UMP reçoit dans ses locaux à l’Elsau  tandis que le PS a loué La Salamandre pour la soirée. Le Front de gauche investira le centre Bernanos… Les formations invitent leurs « militants et sympathisants » à ces soirées publiques.

Mais la soirée la plus sympa, ce sera évidemment celle de Rue89 Strasbourg, aux Aviateurs : tous les détails ici.

Les abonnés au RC Strasbourg pourront demander trois places gratuites à l’entrée du stade de la Meinau le 28 avril, jour de la rencontre. Le club souhaite ainsi promouvoir une « audience familiale » lors de ce match.

Le RC Strasbourg semble vouloir attirer du monde pour cette 25^ème journée de CFA 2 ; les moins de 16 ans et les plus de 60 ans auront accès aux tribunes gratuitement.

Avant le coup d’envoi,  les spectateurs seront invités à fouler la pelouse et à tester le confort du banc de touche.

A LIRE SUR

DE QUOI JE ME M.E.L.

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Le tribunal de Strasbourg en charge d’instruire la plainte en diffamation d’Anticor contre Robert Grossmann a déclaré que la citation en cause était frappée de nullité, a-t-on appris auprès de Robert Grossmann.

Lors de l’audience de conciliation, avant de statuer sur le fond, le tribunal a relevé deux défauts qui se sont révélés être des causes de nullité dans la rédaction de la citation. La citation attaquait des propos pour « injures publiques » mais citait un paragraphe qui ne comportait que des faits de diffamation. Le second défaut est plus juridique, la citation n’a pas articulé correctement les faits reprochés.

Anticor peut faire appel de cette décision mais les délais de prescription (trois mois) et de notification (20 jours) rendent l’affaire très improbable. Il n’y aura donc vraisemblablement pas de procès sur les propos tenus par l’élu d’opposition et ancien maire délégué de Strasbourg dans l’enceinte du conseil municipal en janvier.

A LIRE SUR

LE FIGARO.FR

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L’association Horizome, composée d’artistes, de chercheurs en sciences sociales et en urbanisme, d’associatifs habitants le quartier ou non, vient d’éditer un livre qui parle de « mobilités ». Récit d’une expérience par Barbara Morovich, anthropologue et Colline Guinchard, graphiste.

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Elle vient de publier ses mémoires, « Sur ces chemins où nos pas se sont effacés », en collaboration avec Sophie Képès. Louise « Pisla » Helmstetter, tzigane d’Alsace née en 1926, sera demain (jeudi) au cinéma l’Odyssée pour la projection de son film « De la source à la mer », tourné sur la route entre son Alsace natale et les Saintes-Marie-de-la-Mer en 1988.

Dans ses mémoires, que dit-elle ? Son propos, simple et émouvant, s’attache d’abord à raconter la vie des tziganes d’Alsace Bossue avant-guerre. Leurs périples, de village en village, en quête du minimum pour vivre, mais en harmonie avec la nature et en accord avec les valeurs propres aux gens du voyage : la famille, le partage, la musique, la pudeur… Alors qu’elle a une quinzaine d’années, Pisla connait la guerre et la fuite vers le sud de la France. La destruction des caravanes par les nazis, le retour en Alsace en 1945, joyeux mais dans le plus grand dénuement. Elle raconte aussi la spiritualité des manouches, les pèlerinages, les petits métiers, la liberté. Un beau voyage au cœur d’une communauté méconnue et pourtant si proche.

Y aller

Au Cinéma L’Odyssée, à Strasbourg, jeudi 19 avril à 20h15. Entrée gratuite dans la limite des places disponibles.

L’UGC Ciné-Cité de Strasbourg augmente ses tarifs aujourd’hui. Les cinémas Star ont récemment ajusté les leurs. Les spectateurs strasbourgeois sont invités à choisir les formules d’abonnements pour réduire le coût de leurs séances.

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Jeudi 19 mars, le fondateur de « L’autre journal » en 1984, Michel Butel sera à la librairie Kléber pour présenter le deuxième numéro de sa nouvelle création : « L’impossible ». Considérant qu’un journal doit être une oeuvre d’art, Michel Butel a fondé ce mensuel pour traiter de l’actualité de manière indépendante et sans publicité.

Michel Butel résume ainsi l’esprit de « L’Impossible » :

L’Impossible naît dans la crise : crise de la presse, crise de la gauche, crise du système entier.
Au renoncement, au désarroi, au désespoir, il entend opposer des formes de pensées singulières, résistantes, minoritaires. Un journal doit être un événement, au sens radical de ce mot, dans la vie de chacun. Il doit troubler. Il doit inquiéter. Il doit émouvoir. Il doit transmettre l’énergie vitale sans quoi nous nous effritons de jour en jour.
Parce que tout part toujours d’une communauté qui se forme et qui s’identifie, puis qui, progressivement, forme une autre communauté, plus vaste qui se forme et qui s’identifie. Qui, elle-même, se forme et qui, progressivement (ou soudainement – qui sait ?) forme une autre communauté. Ainsi d’une vague, ainsi des vagues, ainsi de la mer (ainsi parfois de la tempête). Ainsi de la première communauté de ceux et de celles qui créent ce journal.
Ce n’est pas un pari fou de rêver d’un journal différent, vivant de la curiosité, de l’intelligence, du désir de ses lecteurs, vivant de cette petite phrase de Churchill : «Tout le monde savait que c’était impossible. Il est arrivé un jour un imbécile qui ne le savait pas, et qui l’a fait.»

Les caisses primaires d’assurance maladie du Haut-Rhin et du Bas-Rhin ont fait le point : la fraude aux prestations de la branche santé de la Sécurité sociale représente un montant de 2,3 millions d’euros en 2011. Chaque année, ces caisses versent 3,8 milliards d’euros de prestations, soit 1652 fois plus.

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