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Un mastodonte de l’enfance à la fin de vie, l’Arsea envisage une fusion avec l’Abrapa

Fin juin, le président de l’Arsea, une association spécialisée dans le travail social, a présenté son projet de fusionner avec l’Abrapa, une association d’aide à la personne. Face aux inquiétudes des syndicats, la direction a temporisé.

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Un mastodonte de l’enfance à la fin de vie, l’Arsea envisage une fusion avec l’Abrapa

Philippe Richert était pressé. Un peu trop peut être. Au début de l’été 2021, le président de l’Arsea a annoncé aux quelque 1 400 salariés de cette association du secteur social son projet de fusion avec l’Abrapa, autre association d’environ 3 400 salariés, spécialisée dans le service à la personne. Ancien président Les Républicains de la Région Grand Est, Philippe Richert a décrit l’ambition d’une « nouvelle association unique, puissante, durable et non lucrative qui répondrait aux besoins d’aide à l’autonomie, à l’inclusion et à l’épanouissement, quel que soit l’âge, la situation sociale ou l’état de santé de la personne ». Il espérait « que ce projet devait aboutir d’ici un an » et s’engageait « pour que cette fusion se passe au mieux ».

Entrée de la résidence Abrapa Les Halles à Strasbourg. Photo : Guillaume Krempp / Rue89 Strasbourg cc

Une fusion qui inquiète les salariés

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