« La feuille de route se décline, elle se réalise. » À en croire le ton laconique de Pia Imbs, présidente de l’Eurométropole, l’année 2024 devait connaître une fin routinière et tranquille pour l’exécutif métropolitain. En septembre, devant un parterre de journalistes réunis pour un déjeuner de rentrée, elle déroulait la liste des chantiers en cours : le Réseau express métropolitain (REME), l’ouverture de la gare à 360 degrés, l’agrandissement du stade de la Meinau… Même refrain côté Ville de Strasbourg : le temps est au suivi des projets.
Entre l’élan du début de mandat et les dernières années qui seront amputées par la campagne des municipales, 2024 s’inscrit dans une temporalité politique à part. Pour les écologistes à la tête de Strasbourg et de son Eurométropole, le moment fût loin d’être aussi pépère que prévu, avec son lot d’épisodes de tensions et de reculs.
Le tram nord déraille
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