Enquêtes et actualité à Strasbourg et Eurométropole

Avec la loi « sécurité globale », la pénalisation des squats inquiète les associations

Des associations et syndicats s’inquiètent de l’article de la loi « sécurité globale » qui pénalise le squat et les occupations. Ils craignent que les militants et les plus précaires se retrouvent dans le viseur.

Édition abonnés
Avec la loi « sécurité globale », la pénalisation des squats inquiète les associations

« Avec une telle loi, l’abbé Pierre, qui a participé à de nombreux squats, serait en prison. » Samuel Bargas, responsable du groupe de travail logement de la Ligue des droits de l’homme (LDH), dénonce un article de la loi « sécurité globale », définitivement adoptée le 15 avril. Cet article 1er bis A est passé inaperçu lors des débats mais inquiète fortement dix-huit associations, comme la Fondation Abbé Pierre, Droit au logement (DAL), la Ligue des droits de l’homme, Médecins du monde, ou encore le Secours catholique.

Pour tenter de faire censurer cet article, elles ont adressé une contribution au Conseil constitutionnel pour convaincre de sa non conformité à la Constitution. Avant elles, des parlementaires d’opposition (socialistes, communistes et écologistes) avaient saisi les « Sages ».

Un article « passé sous les radars »

Lisez la suite pour 1€ seulement

  • Accédez à nos enquêtes et révélations exclusives
  • Soutenez une rédaction locale qui appartient à ses journalistes
  • Maintenez une vigie citoyenne sur les pouvoirs locaux

Je m’abonne 

Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné⋅e ?

Connectez-vous

#Hébergement d'urgence

Activez les notifications pour être alerté des nouveaux articles publiés en lien avec ce sujet.

Voir tous les articles
Plus d'options