« Nous, élus municipaux de Strasbourg, ville façonnée par l’humanisme rhénan, par les combats pour les droits humains et par une longue tradition d’accueil, continuerons de nous battre jusqu’au retrait définitif de ce texte. » Cette déclaration de l’adjointe à la maire de Strasbourg en charge des solidarités, Floriane Varieras, est issue d’une motion votée lors du conseil municipal, lundi 6 février.
Visés, les représentants dans l’hémicycle strasbourgeois des partis qui ont voté la loi sur l’immigration – Les Républicains, Renaissance, Horizons, le MoDem… Sans répondre aux critiques de fond sur ses mesures, ils ont improvisé une défense détournée.
Vice de forme
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