La Russie pourrait de nouveau siéger à l’Assemblée parlementaire au mois de juin et verser de nouveau sa contribution au Conseil de l’Europe. L’institution reste cependant dans une phase d’austérité, les États membres n’ont pas augmenté leur contribution depuis 2010.
Le « plan de contingence« , synonyme de coupes budgétaires et de suppression de personnel va-t-il partir à la corbeille ? Il est pour l’instant toujours prêt à être mis en oeuvre. Le mois de mai a pourtant été encourageant pour le Conseil de l’Europe. À l’occasion d’une rencontre entre ministres des Affaires Étrangères le 17 mai à Helsinki (la France était représentée par la secrétaire d’État aux Affaires Européennes Amélie de Montchalin), le climat s’est quelque peu détendu entre l’institution strasbourgeoise et la Russie.
Dans une résolution commune, la Russie s’est vue confirmer son droit à siéger à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. De son côté, l’institution basée à Strasbourg devrait récupérer l’argent que Moscou ne lui versait plus depuis presque deux ans.

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