« Je ne fais pas de politique. » Préfète du Bas-Rhin et de la région Grand Est depuis février 2020, Josiane Chevalier a régulièrement répété cette phrase en conférence de presse. Mais celles et ceux qui l’ont côtoyé ne sont pas dupes. La première femme à la tête de la préfecture du Bas-Rhin n’a pas hésité à suivre à la lettre les intérêts du gouvernement macroniste. Les adversaires politiques des partis de la coalition d’Emmanuel Macron en ont fait les frais à Strasbourg et en Alsace. Élus de gauche, syndicalistes et même certains agents de la préfecture ne cachent pas leur joie face au départ à la retraite de Josiane Chevalier lundi 30 septembre.
« Dès qu’un sujet devenait médiatique, ça devenait l’enfer »
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