Mais qui peut bien être autant piqué de musique cubaine, dans l’équipe municipale ? La question s’impose à tous les habitants de la Montagne verte, davantage venus écouter la maire sur le parvis de l’école du Gliesberg mercredi 2 avril, que subir un bruyant récital de charanga. Ni les percussions, ni les cymbales et même tout l’orchestre ne couvrent totalement leurs interrogations sur l’avenir du quartier, que tous jugent délaissé.
Haussant la voix plus fort que la sono, Jeanne Barseghian (Les Écologistes) tente d’exposer et de défendre les aménagements que son administration a prévus. Le « Café avec la maire » est l’occasion de tout mettre à plat. « La Montagne verte fait figure de priorité », assure-t-elle dans son bref propos introductif, avant de reconnaître au quartier un côté « archipel, avec différents îlots, traversés de canaux, de zones de nature et de grands axes. En premier lieu la route de Schirmeck, évidemment. »

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