« Psychologiquement, je ne me sens plus en sécurité chez Bluelink Strasbourg. Fin 2020, j’étais désemparée. Pour me protéger, je suis en arrêt maladie pour quatre mois depuis novembre. » Depuis avril 2017, Lola (le prénom a été modifié) travaille dans la centrale d’appels située rue Livio. En face de l’entrepôt Amazon, près de 200 téléconseillers répondent aux réclamations des clients d’Air France, Delta Airlines ou Devialet.
Obnubilés par les chiffres, les managers poussent au burn-out
Dans un open-space aux murs recouverts de citations enthousiastes et autres « Empathie », « Écoute » ou « Humanly digital », Lola a subi « des méthodes managériales qui poussent au burn-out ». Face à l’inaction de sa direction, elle a décidé de dénoncer les dérives managériale chez Bluelink Strasbourg. « J’ai eu besoin de le faire pour moi, mais aussi pour que ça n’arrive pas aux suivants ».
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