« Ni patron, ni patrie, ni patriarcat ! De cette société-là, on n’en veut pas ! » Place Kléber, plus de 2 000 personnes se mettent en marche en direction de la rue des Grandes-Arcades vendredi 8 mars en début d’après-midi. Derrière la banderole de tête, des responsables syndicales, politiques et associatives. Entre leurs mains, un appel à la grève pour les femmes « doublement exploitées, doublement en colère. » Organisée par les syndicats CGT, Unsa, Solidaires et FSU, le Parti socialiste, La France insoumise, le Parti communiste, EE-LV, le NPA ainsi que de nombreuses associations féministes, la première manifestation strasbourgeoise de ce 8 mars porte clairement son appel à l’arrêt du travail salarié comme domestique.
La maire de Strasbourg, Jeanne Barseghian, a participé à la première manifestation
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