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Selon le Parisien, l’éventuel repreneur de l’usine General Motors devra prendre « engagement ferme » sur le « maintien de l’activité sur le site pendant au moins dix ans ». La nouvelle est tombée mardi à l’issue d’une réunion entre des élus locaux, des représentants syndicaux et le ministre de redressement productif Arnaud Montebourg dans un contexte d’inquiétude grandissante autour de l’avenir de l’usine bas-rhinoise.
Les salariés avaient consentis d’importants sacrifices en 2010 pour réintégrer la maison mère après une première mise en vente en 2008. L’annonce en mai 2012 de cette seconde mise en vente a suscité colère et inquiétude. L’avenir du site ne semble pourtant pas désespéré. Alors que la première tentative de vente avait échoué faute d’acheteurs, dix repreneurs éventuels se sont manifestés auprès de la direction depuis le mois de mai 2012.
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