Aline Rollin a contribué, par ses illustrations, à cette grande folie humaine qu’est la préparation du Giboul’Off. Ses dessins fins et expressifs permettent de toucher du doigt l’esprit de ce festival qui construit du commun.
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Marie Bohner
Publié le ·
Imprimé le 18 décembre 2024 à 02h43 ·
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Le Giboul’Off est un peu une machine à se constituer des rêves et des souvenirs. D’images folles en rencontres – parfois stratosphériques-, c’est un espace-temps à part. Le voilà, vu par les yeux d’Aline Rollin. Ses illustrations ont contribué, à leur façon, à faire exister le Giboul’Off, en permettant de montrer ce qui donne au festival ses qualités uniques : les gens qui le produisent. Ils sont nombreux, plutôt jeunes, des gars et des filles, bricolos et motivés.
Aujourd’hui donc, histoire en images – en attendant les souvenirs en train de se constituer de l’édition 2017. Pour y participer, le programme se trouve ici.
Aline Rollin est graphiste et illustratrice indépendante. Sur son blog, elle explique que son objectif est de « fabriquer des images qui produisent du sens ».
Indépendante, coordinatrice de projets et rédactrice, je travaille dans le champs des droits humains, du développement et de la culture, au niveau international mais aussi en local à Strasbourg.
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