Photo : AF/Rue89Strasbourg Il y a 9 ans Les personnes sans domicile fixe, victimes collatérales de l’état d’urgence Perquisitions, contrôle des sacs et manteaux, rassemblements limités, les conséquences de l’état d’urgence s’imposent à tous. Mais pour les personnes vivant dans la rue, elles sont impitoyables : intimidations, descentes dans les squats ou pire : "déminage" de voitures qui servent d'abris. Gratuit