Photo : Illustration Aline Rollin
Dernières publications
Photo : SD / Rue89 Strasbourg
Photo : document remis
Plongée en eaux folles au festival Giboul’Off de jeudi à samedi
Le festival Giboul’Off, fête grande ouverte avec de la marionnette mais pas que, plonge à 20 mille lieues sous les mers du jeudi 23 au samedi 25 mars. L’occasion de découvrir des spectacles surprenants dans un décor psychédélique, menés tambour battant par les membres d’un collectif hors norme.
Photo : MB / Rue89 Strasbourg
Roger Siffer : « pas de sketchs sur les djihadistes, parce qu’on a peur »
La revue satirique de la Choucrouterie, cru 2016-2017, fonctionne à plein régime depuis novembre. Réunissant plus de 14 000 spectateurs par an, la revue est prolongée cette année jusqu'à mi-avril. Mais pour son créateur, Roger Siffer, l'humour satirique évolue chaque année sur des terrains de plus en plus minés.
Photo : Julien Lambert
« Cold Blood » de Kiss & Cry au Maillon : comme au cinéma, mais en mieux
Après le succès international de sa première création en 2011, le collectif belge Kiss & Cry reprend les ingrédients principaux, – le tournage d'un film en direct et la chorégraphie de mains-, pour un spectacle magnifique : Cold Blood. Ce ballet pour doigts tourné-monté traverse 7 histoires pour nous emmener, ébahis, dans la vie juste avant la mort. Au Maillon jusqu'au jeudi 26 janvier.
Photo : DR / Compagnie Placement libre
Au TJP : « Archivolte », comment pensent les architectes ?
Le TJP ouvre l'année 2017, du 12 au 14 janvier, par un spectacle étonnant sur l'espace mental de l'architecte. Archivolte est le deuxième opus du comédien, metteur en scène et scénographe David Séchaud. Avec sa compagnie strasbourgeoise Placement Libre, il interroge avec humour et suspicion la façon de penser de ceux qui construisent les espaces dans lesquels nous habitons.
Photo : Document remis / Mandala
C’est le Refugee Food Festival à Strasbourg : business, engagement et gourmandise
Strasbourg accueille la seconde édition du Refugee Food Festival, du 19 au 23 décembre. Cette initiative soutenue par le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) permet de mettre en lien des chefs cuisiniers réfugiés avec des chefs "locaux", pour le plus grand plaisir des papilles des Strasbourgeois.
Photo : Giovanni Cittadini-Cesi
En hommage à Charlie Hebdo, Jean-Michel Ribes ressuscite les dadaïstes au TNS
Le directeur du Théâtre du Rond Point à Paris vient présenter Par-delà les marronniers-Revu(e) à l'invitation du Théâtre National de Strasbourg du 7 au 17 décembre. Une pièce qui permet à Jean-Michel Ribes de célébrer les esprits libres et libertaires : trois jeunes dadaïstes précurseurs des années 20 et, en résonance, les dessinateurs assassinés de Charlie Hebdo.
Photo : Daniel Seiffert
Milo Rau assène son théâtre du réel au Maillon
Le Maillon accueille les 2 et 3 décembre Mitleid – Die Geschichte des Maschinengewehrs, autrement dit Compassion – L'histoire de la mitraillette, du metteur en scène suisse Milo Rau. Créée en janvier 2016 à la Schaubühne de Berlin, la pièce met les Européens que nous sommes face à leurs contradictions – et leurs responsabilités – en ce qui concerne le sort des réfugiés et la guerre civile au Congo. Entretien avec un homme qui nourrit le théâtre de son indignation.
Photo : Image Grégoire Solotareff
« Tomi Ungerer Forever », orgie magistrale d’illustration à plusieurs mains
Tomi Ungerer fêtera ses 85 ans lundi 28 novembre. Cet anniversaire est l'occasion, pour le Musée Tomi Ungerer, d'affirmer la contribution inestimable que l'artiste a apporté à deux générations d'illustrateurs. Une centaine d'illustrateurs et de dessinateurs ont répondu présents pour cette célébration commune.
Photo : JL Tanghe
« …Cupidon s’en fout », ou le refus de la conformité au Ballet du Rhin
Le Ballet de l'Opéra national du Rhin ouvre cette saison 16-17 sous le sceau de la distinction avec …Cupidon s'en fout. Le jeune chorégraphe Étienne Béchard, formé au Ballet Béjart de Lausanne, signe avec sa compagnie et les danseurs du Ballet du Rhin un spectacle audacieux. La poésie et l'humour y défient les effets de masse et le conformisme.
Photo : Elisabeth Carecchio
Au Maillon, « Pinocchio » de Joël Pommerat invite à l’aventure tumultueuse de l’enfance
Le Maillon ouvre cette saison avec un spectacle qui vient d'obtenir le Molière jeune public 2016 : le Pinocchio de Joël Pommerat. Épopée magique du pantin de bois qui deviendra garçon, la pièce parcourt un monde sombre et fantastique. Conte initiatique pour les grands comme pour les petits – à partir de 8 ans.
Photo : DR
Amala Dianor mixe les générations de la danse Hip Hop à Pôle Sud
Amala Dianor est une pointure de la danse Hip Hop en France. Il est aussi le nouvel artiste associé de Pôle Sud, pour les trois prochaines années, avec un focus particulier sur le quartier de la Meinau à Strasbourg. Sa nouvelle création, De(s)génération, est l'occasion pour lui de poser un regard sur l'évolution de la danse Hip Hop à travers trois générations de danseurs, en retrouvant les fondamentaux : "peace, love, unity and having fun."
Photo : Marie Bohner / Rue89 Strasbourg
De Musica au Maillon, Rodolphe Burger fait sa rentrée à Strasbourg
Rodolphe Burger sera à Musica mercredi avec son groupe historique, Kat Onoma. Puis il sera accueilli par la Licra et le Maillon en novembre pour une date unique autour du Cantique des Cantiques à la Cathédrale. Descendu de Sainte-Marie-aux-Mines, le musicien touche à tout alsacien squatte avec bonheur la rentrée culturelle strasbourgeoise.
Photo : Wilfried Hoesl
« The Turn of The Screw », l’opéra fantastique et juvénile
La rentrée à Strasbourg se fait sous le signe du fantastique. L'Opéra du Rhin n'est pas en reste, et livre une pièce énergique, juvénile et réjouissante, dans le plus pur style maison hantée. La mise en scène de Robert Carsen sert avec justesse l'œuvre de Benjamin Britten, que l'on découvre pour la première fois à l'Opéra du Rhin.
Photo : Fernandez Jean-Louis
Iphigénie en Tauride au TNS : le pouvoir pacificateur de la parole, face à la fatalité de la violence
Jean-Pierre Vincent, ancien directeur du TNS, ouvre cette nouvelle saison avec la création de la pièce de Goethe Iphigénie en Tauride. Militant et pacifiste par le biais de la figure féminine d'Iphigénie, le spectacle plaide pour le pouvoir de la parole face à la fatalité de la violence. Happy end garanti.