« J’aimerais vous signaler que le Concordat crée des curés, des pasteurs et des rabbins fictifs ». Dans une alerte reçue à Rue89 Strasbourg, un avocat strasbourgeois semblait persuadé que les textes concordataires, datant tous du début au XIXe siècle, permettaient aux quatre cultes statutaires (catholique, protestants luthérien et réformé, israélite) d’abuser des fonds publics. En cause : des ministres du culte payés par l’État seraient embauchés sur des paroisses où ils n’ont jamais été vus, ou auprès de communautés qui ont disparu.

Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.
Contribuez à consolider un média indépendant à Strasbourg, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.
- Paiement sécurisé
- Sans engagement
Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…