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200 ans après, le Concordat paie des curés loin de leurs paroisses

Chaque année, le ministère de l’Intérieur dépense plus de 50 millions d’euros pour le financement des ministres du culte et leurs retraites en Alsace-Moselle. Mais la réalité du XXIe siècle s’est affranchie des dispositions prévues par les textes bi-centenaires.

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Une étape à la Cathédrale pour parler des femmes au Moyen-âge David Baron/FlickR/cc

« J’aimerais vous signaler que le Concordat crée des curés, des pasteurs et des rabbins fictifs ». Dans une alerte reçue à Rue89 Strasbourg, un avocat strasbourgeois semblait persuadé que les textes concordataires, datant tous du début au XIXe siècle, permettaient aux quatre cultes statutaires (catholique, protestants luthérien et réformé, israélite) d’abuser des fonds publics. En cause : des ministres du culte payés par l’État seraient embauchés sur des paroisses où ils n’ont jamais été vus, ou auprès de communautés qui ont disparu.

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Photo : Evan Lemoine / Rue89 Strasbourg

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