Précarité des vacataires à l’Université de Strasbourg, protection insuffisante des femmes victimes de violences conjugales, omerta sur le harcèlement au sein du bailleur social Alsace Habitat… À partir du lundi 12 juin, Rue89 Strasbourg vous propose une nouvelle semaine de l’investigation locale. La recette reste la même : chaque jour, une enquête sur nos thématiques de prédilection, de l’environnement à la santé publique, en passant par le féminisme et les conditions de travail.
1€ le premier mois avec le code « abo2000 »
Ces articles ont nécessité beaucoup de persévérance de la part des journalistes qui en sont les autrices et les auteurs. En outre, ils représentent un effort financier significatif pour notre petit média porté, rappelons-le, par une entreprise strasbourgeoise indépendante. Chacune de ces enquêtes aura nécessité plusieurs milliers d’euros d’investissement et c’est pourquoi nous les réservons, contrairement à la première édition, à nos abonnés.
Mais bonne nouvelle : cette semaine est accompagnée d’une promotion pour découvrir l’édition abonnés de Rue89 Strasbourg. Un euro le premier mois avec le code « abo2000 » et c’est toujours sans engagement, le désabonnement ne nécessitant qu’un seul clic.
Publier des enquêtes dans un univers local est toujours une aventure particulière. Les personnes mises en cause sont parmi nos lecteurs, parmi nos cercles étendus parfois. C’est délicat et difficile, mais nous sommes persuadés de leur utilité publique.
À la base des enquêtes, les alertes
Nous le devons aussi aux personnes qui ont pris le risque de nous alerter, soit en nous contactant par la plate-forme anonyme, soit directement par le formulaire, soit par contacts communs, parfois en prenant des risques personnels. Qu’elles et ils soient ici remerciés pour leur courage et pour leur disponibilité.
Plus de 1 800 personnes sont actuellement abonnées à Rue89 Strasbourg pour accéder à nos enquêtes et soutenir notre démarche. Notre média doit atteindre 2 000 abonnés pour maintenir la composition actuelle de sa rédaction, soit cinq journalistes à temps plein et le recours régulier à une dizaine de journalistes indépendants.
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