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Connectez-vousAprès la médiatisation de l’affaire Sofiane Bennacer, l’acteur, mis en examen pour « viols », et la réalisatrice Valeria Bruni Tedeschi crient au non-respect de la présomption d’innocence. Ce principe judiciaire fondamental n’empêche pourtant ni la parole, ni la liberté d’informer, ni la mise en place de mesures conservatoires. Un éditorial de Marine Turchi.
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