Le pragmatisme a fait reculer le ministre de l’Environnement, Nicolas Hulot, sur la réduction de la part du nucléaire à 50% d’ici 2025 en France. Lui, c’est le aussi pragmatisme qui l’a rendu antinucléaire. En visite à Strasbourg, Naoto Kan a encouragé la fermeture de la centrale de Fessenheim. Ancien Premier ministre du Japon, il a dû faire face en 2011 à la catastrophe de Fukushima.
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