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Du Nigeria à Strasbourg, itinéraires de deux victimes de la traite prostitutionnelle

Ce sont des jeunes femmes qui pensaient venir en Europe pour étudier, travailler comme vendeuse ou coiffeuse. Mais à l’arrivée, elles se sont retrouvées prisonnières de réseaux de proxénétisme et ont mis des mois, voire des années, avant d’en sortir.

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Du Nigeria à Strasbourg, itinéraires de deux victimes de la traite prostitutionnelle

Winnel (tous les prénoms ont été modifiés) a 25 ans et de longs cils noirs. Cheveux longs et lissés, elle parle doucement, très bas, dans un anglais approximatif. « It’s broken english », explique-t-elle. Celui qu’on parle au Nigeria. La jeune femme vient de l’État d’Eddo. Tout comme Mary, 28 ans. Ces deux femmes ont accepté de témoigner. Raconter ce qu’elles ont vécu. De leurs parcours de migrantes, à leur exploitation par des réseaux de proxénétisme en Europe.

Si elles veulent parler aujourd’hui, c’est parce qu’elles essaient de s’en sortir, en demandant l’asile. Seule façon pour elles de recommencer une nouvelle vie. Sans danger de mort, ni menace pour elle ou leur famille.

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