« J’étais parti pour faire un discours à la Chávez », plaisante Raphaël Glucksmann auprès des journalistes, à l’issue de son meeting strasbourgeois du mercredi 24 avril. Pour ne pas lasser son auditoire, la tête de liste du Parti socialiste et de Place publique a en effet renoncé à se mettre dans les pas de l’ancien président vénézuélien, préférant sabrer des pans entiers d’un discours-fleuve sur sa vision de l’Europe en 2030.
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