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Recette sociale !
Voir plus« La grève a payé » titrez-vous. La grève paye toujours quand elle est suivie par un grand nombre de salarié.es (80% chez les Dumarey) déterminé.es, ne se limitant à une seule journée maigrichonne et appuyée par une intersyndicale faisant vraiment front commun.
Chez les Dumarey, futurs chômeurs ou pas, tous ces ingrédients étaient réunis.
Quand on découvre les résultats obtenus (cf tableau des propositions proposées par la direction avant l’arrêt des chaines de production et les conditions arrachées par le conflit social) on est confirmé que la grève reste un outil de lutte sociale particulièrement efficace. Ce qui n’enlève rien au courage des Dumarey qui ont pris le risque du rapport de force avec leur misérable direction. Misérable parce qu’au départ du conflit, cette même direction proposait des conditions de misère aux 248 oiuvrier.es licencié.es.
Chapeau les Dumarey, vous faites la brillante démonstration du chemin à suivre pour faire plier les directions. Vous faites peur à qui doit avoir peur. Merci !
Prenons Nicolas au mot et demandons-lui à quel terme les 40 à 50 logements libres des collèges de l’Euro-métropole seront occupés par des jeunes relevant de l’aide sociale à l’enfance.
Voir plusEt quid des logements qui resteront libres une fois les travaux de conformité électriques achevés ?
Finalement, Nicolas a le même talent que celui de son leader maximo. Le minable art du mensonge en politique.
Visiblement l’organisme a donné plus bas une longue réponse par la voix de M. Cedric Giraud. En quoi citer le texte de présentation de leur activité est une garantie d’ »engagement » ? Quant à la « transparence »…
Voir plusL’article mentionne « cette structure méconnue n’a pas de site internet, de page sur les réseaux sociaux ou de coordonnées identifiables publiquement… »
En faisant quelques recherches, on constate que la page web citée dans sa réponse (lamaisondesloges.fr) a été créée le 12.11.24 (selon whois et wayback machine) date de la publication de cet article (les mentions légales ne sont pas fournies).
Il conclue « En espérant que cette mise au point permettra aux lecteurs de mieux comprendre l’essence de notre engagement ».
Lorsque l’on prétends « vis[er] la création de 5 000 places d’hébergement dans le Grand Est d’ici cinq ans » en partie à l aide de fonds publics, on fournit les comptes.
Recette sociale !
« La grève a payé » titrez-vous. La grève paye toujours quand elle est suivie par un grand nombre de salarié.es (80% chez les Dumarey) déterminé.es, ne se limitant à une seule journée maigrichonne et appuyée par une intersyndicale faisant vraiment front commun.
Chez les Dumarey, futurs chômeurs ou pas, tous ces ingrédients étaient réunis.
Quand on découvre les résultats obtenus (cf tableau des propositions proposées par la direction avant l’arrêt des chaines de production et les conditions arrachées par le conflit social) on est confirmé que la grève reste un outil de lutte sociale particulièrement efficace. Ce qui n’enlève rien au courage des Dumarey qui ont pris le risque du rapport de force avec leur misérable direction. Misérable parce qu’au départ du conflit, cette même direction proposait des conditions de misère aux 248 oiuvrier.es licencié.es.
Chapeau les Dumarey, vous faites la brillante démonstration du chemin à suivre pour faire plier les directions. Vous faites peur à qui doit avoir peur. Merci !
Prenons Nicolas au mot et demandons-lui à quel terme les 40 à 50 logements libres des collèges de l’Euro-métropole seront occupés par des jeunes relevant de l’aide sociale à l’enfance.
Et quid des logements qui resteront libres une fois les travaux de conformité électriques achevés ?
Finalement, Nicolas a le même talent que celui de son leader maximo. Le minable art du mensonge en politique.
Visiblement l’organisme a donné plus bas une longue réponse par la voix de M. Cedric Giraud. En quoi citer le texte de présentation de leur activité est une garantie d’ »engagement » ? Quant à la « transparence »…
L’article mentionne « cette structure méconnue n’a pas de site internet, de page sur les réseaux sociaux ou de coordonnées identifiables publiquement… »
En faisant quelques recherches, on constate que la page web citée dans sa réponse (lamaisondesloges.fr) a été créée le 12.11.24 (selon whois et wayback machine) date de la publication de cet article (les mentions légales ne sont pas fournies).
Il conclue « En espérant que cette mise au point permettra aux lecteurs de mieux comprendre l’essence de notre engagement ».
Lorsque l’on prétends « vis[er] la création de 5 000 places d’hébergement dans le Grand Est d’ici cinq ans » en partie à l aide de fonds publics, on fournit les comptes.