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À la Une du Stamm' :
BS
Bernard Sibieude
Abo
401 commentaires
Finalement, Didier Migaud, devrait confier sa direction de l’administration pénitentiaire à un logisticien, spécialiste des « entrées-sorties », qui conseillerait aux magistrats de mettre la pédale douce sur les peines assorties d’une privation de liberté. Mais que peut-on attendre d’un monsieur-le-ministre, traitre aux idées de gauche, qui a décidé d’avoir avec les Barnier-Macron une aventure extraconjugale ? À jurer qu’il n’a jamais été de gauche celui-là.
On a tort de penser qu’après tout, les détenus n’ont que ce qu’ils méritent. Qui aurait imaginé, il y a une dizaine d’années, qu’un Sarkozy quelconque, serait à deux doigts de faire un séjour à Fleury-Mérogis ? Et nous, citoyen.nes vertueu.ses, qui, aujourd’hui, au vu de notre mode de vie, nous sentons à l’abri de tout tourisme forcé, nourri-logé-blanchi, dans les prisons françaises, imaginons-nous que cela puisse nous pendre au nez ? Les lois changent et se durcissent. Les Retailleau commencent à arriver au pouvoir. Ils précèdent les Le Pen, Bardella et autres malades de l’autoritarisme, qui savent écrire des lois qui envoient en tôle qui ne pensent pas comme eux. Qui aurait imaginé hier, qu’un migrant essayant d’obtenir un simple droit d’asile, puisse se retrouver, sans jugement, dans une prison courtoisement dénommée Centre de rétention ?
Il est urgent de réalimenter les caisses de l’État avec de bons impôts, sur ceux qui ont un pognon de dingue, pour humaniser les prisons françaises. Demain ce pourrait être notre tour !
Cela me rappelle le livre de Virginie Despentes (Vernon Subutex), je cite :
« La France avait fait croire à son père que s’il embrassait sa culture universelle, elle lui ouvrirait grand les bras, comme à n’importe lequel de ses enfants. Belles promesses hypocrites, mais les Arabes diplômés sont restés les bougnoules de la République et on les a tenus, pudiquement, à l’entrée des grandes institutions. »
Au passage, on apprend qu’il se passe encore quelque chose à l’ancienne prison, siège de l’ancienne école de l’ENA. Je suis curieux de savoir s’il est vide le reste du temps sinon. Ce serait dommage, au prix qu’à coûté cette luxueuse réhabilitation…
Finalement, Didier Migaud, devrait confier sa direction de l’administration pénitentiaire à un logisticien, spécialiste des « entrées-sorties », qui conseillerait aux magistrats de mettre la pédale douce sur les peines assorties d’une privation de liberté. Mais que peut-on attendre d’un monsieur-le-ministre, traitre aux idées de gauche, qui a décidé d’avoir avec les Barnier-Macron une aventure extraconjugale ? À jurer qu’il n’a jamais été de gauche celui-là.
On a tort de penser qu’après tout, les détenus n’ont que ce qu’ils méritent. Qui aurait imaginé, il y a une dizaine d’années, qu’un Sarkozy quelconque, serait à deux doigts de faire un séjour à Fleury-Mérogis ? Et nous, citoyen.nes vertueu.ses, qui, aujourd’hui, au vu de notre mode de vie, nous sentons à l’abri de tout tourisme forcé, nourri-logé-blanchi, dans les prisons françaises, imaginons-nous que cela puisse nous pendre au nez ? Les lois changent et se durcissent. Les Retailleau commencent à arriver au pouvoir. Ils précèdent les Le Pen, Bardella et autres malades de l’autoritarisme, qui savent écrire des lois qui envoient en tôle qui ne pensent pas comme eux. Qui aurait imaginé hier, qu’un migrant essayant d’obtenir un simple droit d’asile, puisse se retrouver, sans jugement, dans une prison courtoisement dénommée Centre de rétention ?
Il est urgent de réalimenter les caisses de l’État avec de bons impôts, sur ceux qui ont un pognon de dingue, pour humaniser les prisons françaises. Demain ce pourrait être notre tour !
CL
Christophe LAURENT
Abo
Cela me rappelle le livre de Virginie Despentes (Vernon Subutex), je cite :
« La France avait fait croire à son père que s’il embrassait sa culture universelle, elle lui ouvrirait grand les bras, comme à n’importe lequel de ses enfants. Belles promesses hypocrites, mais les Arabes diplômés sont restés les bougnoules de la République et on les a tenus, pudiquement, à l’entrée des grandes institutions. »
je pense, donc je doute.
Au passage, on apprend qu’il se passe encore quelque chose à l’ancienne prison, siège de l’ancienne école de l’ENA. Je suis curieux de savoir s’il est vide le reste du temps sinon. Ce serait dommage, au prix qu’à coûté cette luxueuse réhabilitation…
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Finalement, Didier Migaud, devrait confier sa direction de l’administration pénitentiaire à un logisticien, spécialiste des « entrées-sorties », qui conseillerait aux magistrats de mettre la pédale douce sur les peines assorties d’une privation de liberté. Mais que peut-on attendre d’un monsieur-le-ministre, traitre aux idées de gauche, qui a décidé d’avoir avec les Barnier-Macron une aventure extraconjugale ? À jurer qu’il n’a jamais été de gauche celui-là.
Voir plusOn a tort de penser qu’après tout, les détenus n’ont que ce qu’ils méritent. Qui aurait imaginé, il y a une dizaine d’années, qu’un Sarkozy quelconque, serait à deux doigts de faire un séjour à Fleury-Mérogis ? Et nous, citoyen.nes vertueu.ses, qui, aujourd’hui, au vu de notre mode de vie, nous sentons à l’abri de tout tourisme forcé, nourri-logé-blanchi, dans les prisons françaises, imaginons-nous que cela puisse nous pendre au nez ? Les lois changent et se durcissent. Les Retailleau commencent à arriver au pouvoir. Ils précèdent les Le Pen, Bardella et autres malades de l’autoritarisme, qui savent écrire des lois qui envoient en tôle qui ne pensent pas comme eux. Qui aurait imaginé hier, qu’un migrant essayant d’obtenir un simple droit d’asile, puisse se retrouver, sans jugement, dans une prison courtoisement dénommée Centre de rétention ?
Il est urgent de réalimenter les caisses de l’État avec de bons impôts, sur ceux qui ont un pognon de dingue, pour humaniser les prisons françaises. Demain ce pourrait être notre tour !
Cela me rappelle le livre de Virginie Despentes (Vernon Subutex), je cite :
Voir plus« La France avait fait croire à son père que s’il embrassait sa culture universelle, elle lui ouvrirait grand les bras, comme à n’importe lequel de ses enfants. Belles promesses hypocrites, mais les Arabes diplômés sont restés les bougnoules de la République et on les a tenus, pudiquement, à l’entrée des grandes institutions. »
Au passage, on apprend qu’il se passe encore quelque chose à l’ancienne prison, siège de l’ancienne école de l’ENA. Je suis curieux de savoir s’il est vide le reste du temps sinon. Ce serait dommage, au prix qu’à coûté cette luxueuse réhabilitation…
Voir plusFinalement, Didier Migaud, devrait confier sa direction de l’administration pénitentiaire à un logisticien, spécialiste des « entrées-sorties », qui conseillerait aux magistrats de mettre la pédale douce sur les peines assorties d’une privation de liberté. Mais que peut-on attendre d’un monsieur-le-ministre, traitre aux idées de gauche, qui a décidé d’avoir avec les Barnier-Macron une aventure extraconjugale ? À jurer qu’il n’a jamais été de gauche celui-là.
On a tort de penser qu’après tout, les détenus n’ont que ce qu’ils méritent. Qui aurait imaginé, il y a une dizaine d’années, qu’un Sarkozy quelconque, serait à deux doigts de faire un séjour à Fleury-Mérogis ? Et nous, citoyen.nes vertueu.ses, qui, aujourd’hui, au vu de notre mode de vie, nous sentons à l’abri de tout tourisme forcé, nourri-logé-blanchi, dans les prisons françaises, imaginons-nous que cela puisse nous pendre au nez ? Les lois changent et se durcissent. Les Retailleau commencent à arriver au pouvoir. Ils précèdent les Le Pen, Bardella et autres malades de l’autoritarisme, qui savent écrire des lois qui envoient en tôle qui ne pensent pas comme eux. Qui aurait imaginé hier, qu’un migrant essayant d’obtenir un simple droit d’asile, puisse se retrouver, sans jugement, dans une prison courtoisement dénommée Centre de rétention ?
Il est urgent de réalimenter les caisses de l’État avec de bons impôts, sur ceux qui ont un pognon de dingue, pour humaniser les prisons françaises. Demain ce pourrait être notre tour !
Cela me rappelle le livre de Virginie Despentes (Vernon Subutex), je cite :
« La France avait fait croire à son père que s’il embrassait sa culture universelle, elle lui ouvrirait grand les bras, comme à n’importe lequel de ses enfants. Belles promesses hypocrites, mais les Arabes diplômés sont restés les bougnoules de la République et on les a tenus, pudiquement, à l’entrée des grandes institutions. »
Au passage, on apprend qu’il se passe encore quelque chose à l’ancienne prison, siège de l’ancienne école de l’ENA. Je suis curieux de savoir s’il est vide le reste du temps sinon. Ce serait dommage, au prix qu’à coûté cette luxueuse réhabilitation…