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Manuel Valls a eu une grande idée : communiquer précisément les chiffres de voitures brûlées au soir du réveillon, au nom de la transparence. Ce chiffre est devenu la mesure de l’efficacité (ou de son contraire) des forces de l’ordre mobilisées le 31 décembre, et donc de leur ministre de l’Intérieur. 2013 démarre donc sur un « record » (bravo) avec 1193 voitures brûlées, avec les départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin dans le « tiercé de tête » selon la formule employée par les DNA. On se demande vraiment qui est le gagnant dans ce triste comptage, certainement pas Strasbourg…
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