A 11h, la participation dans le Bas-Rhin s’élevait à 9,19% et celle du Haut-Rhin à 11,16%. C’est faible. Pour mémoire, le référendum de 2005, sur le traité constitutionnel européen, avait mobilisé 24,81% des électeurs alsaciens à la même heure. C’est le plus faible taux de participation en Alsace, quelque soit le scrutin considéré depuis 1994. C’est même plus faible que lors des élections cantonales, traditionnellement les moins suivies par les électeurs.
La participation à ce scrutin est un enjeu majeur car, pour que le « oui » l’emporte, il est nécessaire qu’au moins 25% des électeurs inscrits aient mis un bulletin « oui » dans l’urne, dans chaque département. Faute de participation suffisante, même si le « oui » l’emporte à 75%, le scrutin sera considéré comme un refus des Alsaciens à fusionner les trois collectivités territoriales.
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