Il semble qu’à Strasbourg, la déprime soit chronique. C’est en tout cas ce qu’affirme une étude « non scientifique » du site Changerdeville.fr, basée sur une analyse des mots-clés tapés sur le moteur de recherche Google exprimant la déprime, comme « stress », « burn-out », « angoisse » ou encore « mal-être ». On apprend ainsi que Strasbourg serait la seule ville française à apparaitre constamment dans le top 10, quelque soit le mot recherché et serait même élue « ville où l’on déprime le plus » d’après un classement « non pondéré par le nombre d’habitants ».
Mais qu’on se rassure. Pour ne « pas biaiser les résultats », les résultats obtenus par chacune des villes françaises ont bien été pondérés par le site. Dans ce classement alternatif, Annecy serait ainsi en tête, suivi de Nancy et Grenoble. La ville de Strasbourg ne figurerait qu’en sixième position. Etrangement, les villes du sud « résisteraient à la déprime ».
Un classement à prendre au second degré, donc, dont l’objectif affiché est d’orienter de manière ludique les Français en vue d’un déménagement. Strasbourg aura au moins le mérite d’avoir gardé son sens de l’humour…
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