Dans un communiqué envoyé aujourd’hui, le conseiller municipal centriste Marc Merger s’en prend au nouveau revêtement de sol de l’allée Joséphine, au Parc de l’Orangerie. Extraits :
« Il n’est certes pas prévu de jouer au tennis sur la nouvelle allée qui mène au pavillon Joséphine, mais ce nouveau revêtement va faire le régal des enfants adeptes des dérapages à pieds ou à vélo, fumées de poussières garanties. Nous sommes loin des promesses et des engagements faits par la municipalité, suite à mes différentes inquiétudes d’accessibilité (…). Le revêtement est une sorte de terre sablonneuse basique et fragile posée à l’aide d’un rouleau compresseur où le moindre coup de frein de vélo où même de fauteuil roulant laisse un trou… Par temps sec, c’est vive la glissade et la poussière du sable et par temps humide ou pluvieux, c’est vive les salissures de la terre ! »
« Contraignant voire dangereux pour les personnes âgées, les mamans avec poussettes [ndlr : les « papas », eux, n’ont pas ce genre de problème…], personnes à béquilles, fauteuils roulants, etc. parce que glissant et salissant. »
L’élu d’opposition s’agace encore :
« Par ailleurs, on constate qu’entre les trois allées de terre sablonneuse, ont été plantée une multitude de nouveaux arbres, les anciens ayant été tout bonnement abattus. A cet effet, des sorties de tuyaux visiblement destinées à de l’arrosage automatique ont poussé tous les 3 mètres sur 2 allées de terre et sur toute la longueur de l’allée. Quel est le coût de cette mise en place ? Quel va être le coût de l’eau qui va alimenter cet arrosage ? Et surtout quel est le coût de l’entretien de cette terre sablonneuse qui sera très vite truffée de trous et de « nids de poules » sous l’effet des passages de vélos, du gel et dégel hivernal… ? »
Et de s’indigner enfin de la durée des travaux, qui durent depuis plusieurs mois et rendent compliquées les promenades dans cette partie du parc.
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