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Qui veut d’un site de 320 hectares pollués aux hydrocarbures ? Les Échos reviennent sur le plus gros chantier de dépollution d’Alsace, après peut-être les mines de Potasse, avec un article indiquant que les deux prestataires susceptibles de s’attaquer à cet énorme chantier ne se bousculent pas pour rendre leurs offres. L’ancienne raffinerie Petroplus de Reichstett a été scindée en deux, une partie de 80 hectares reconvertie en terminal avec un accès au Rhin et l’autre, de 320 ha, qui attend depuis trois ans.
Selon Les Échos :
La mandataire judiciaire chargée de la liquidation, Fabienne Jenner, veut accélérer le pas. « J’attends des offres fermes sans conditions suspensives pour septembre, l’objectif étant de finaliser pour la fin de l’année », dit-elle. Plusieurs opérateurs potentiels sont en contact avec elle, dont deux qui sortent aujourd’hui du lot, à savoir Brownfield et le groupe de travaux publics alsaco-lorrain Lingenheld. Mais tous les opérateurs sont formels, l’équilibre financier d’un tel chantier, évalué à près de 100 millions d’euros, ne pourra aboutir sans aides publiques.
L’idée est de transformer la zone utilisée par la raffinerie en gigantesque zone d’activité. Mais le spectre d’une friche industrielle orpheline continue de hanter Reichstett.
Aller plus loin
Sur Rue89 Strasbourg : Que sont devenus les anciens de Reichstett ?
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