Dos voûté sur sa chaise, Hugo plonge ses rétines dans l’écran bleuté de son ordinateur. Seul dans l’open space désert de l’entreprise Mathis à Muttersholtz, il griffonne quelques notes sur un papier, dans son jargon d’ingénieur. Comme tous les matins, il est arrivé au bureau à sept heures et demie, sans . . .
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