« Je voulais montrer, un peu à la manière de l’école de Dusseldorf, que ce quartier avait été créé sur des terrains forestiers à l’orée de la cité. Ce qui m’intéressait était le passage entre le « très nature » et le « très façonné ».
Son goût pour la frontalité et le cloisonnement urbain avait déjà été perçu dans son exposition M.U.R.S, au cheval Blanc en 2009, mais il y avait là une urgence, un conflit entre l’humain et le bâti. Ici, rien de tout cela, passé la froideurs des clichés numériques, on trouve une volonté de confort, de « Home, Sweet Home » visuel.
« J’avais envie que les clichés puissent devenir des cartes postales accrochés sur les frigos des habitants du quartier. »
Y aller
A voir, sa nouvelle exposition « Tigre de papier », du 16 février au 15 mars 2013, au centre culturel Alsacien, 5, boulevard de la Victoire à Strasbourg.
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