« Après les résultats des élections européennes, certains demandeurs d’asile m’ont demandé s’ils devaient partir tout de suite. Évidemment, je leur ai dit que non. » Si elle raconte cet évènement comme une anecdote, Mathilde (tous les prénoms ont été modifiés) sait que la crainte est fondée. Conseil juridique auprès des demandeurs et demandeuses d’asile, l’Alsacienne a travaillé pour l’État avant de s’orienter vers une autre structure d’aide aux exilés dans le Grand Est.
Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.
Contribuez à consolider un média indépendant à Strasbourg, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.
- Paiement sécurisé
- Sans engagement
Chargement des commentaires…