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Dossier
Le poison discret de la pollution industrielle






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Bravo à Diane Laugel de témoigner. Pour une fois que l’Eglise est confronté à une femme qui a la tête sur les épaules et qui ne veut pas être une potiche. Cela révèle également le gouffre abyssal de cette institution avec la société.
Voir plus1) Mikal, ancienne infirmière à Strasbourg […] insiste sur l’urgence de « politiser la cause du cancer ». Quand les gouvernements choisissent d’augmenter les budgets militaires, refusent d’imposer les grandes fortunes ou les grandes entreprises et réautorisent, en toute connaissance de cause, des intrants agricoles toxiques (loi Duplomb) pour le vivant ou malmènent les budgets de la santé, c’est effectivement « politique ».
2) Précarisation des personnes malades : « Pour Muriel et Mikal, la loi sur le budget 2026 comporte son lot de régressions sociales. C’est le cas des indemnités journalières des personnes en affectation longue durée qui seront assujetties à l’impôt. « Une fois encore, les économies se font sur le dos des malades », regrette Muriel».
Voir plusCeux qui font ces choix « politiques », qu’ils s’abstiennent ou votent pour le PLFSS, prennent des décisions qui pourront un jour leur être reprochées au motif de la non-assistance à personnes en danger ou de la complicité de mise en danger d’autrui.
Après tout, ce n’est pas parce qu’ils sont aujourd’hui puissants et protégés par une presse complice que demain ils ne devront pas rendre des comptes à la justice. Comme Nicolas.
Muriel, Mikal, bravo pour votre lutte.
Continuez le combat !
Cela pose des questions sur le droit local : ce sont nos impôts qui payent tout cela !
Voir plusBravo à Diane Laugel de témoigner. Pour une fois que l’Eglise est confronté à une femme qui a la tête sur les épaules et qui ne veut pas être une potiche. Cela révèle également le gouffre abyssal de cette institution avec la société.
1) Mikal, ancienne infirmière à Strasbourg […] insiste sur l’urgence de « politiser la cause du cancer ». Quand les gouvernements choisissent d’augmenter les budgets militaires, refusent d’imposer les grandes fortunes ou les grandes entreprises et réautorisent, en toute connaissance de cause, des intrants agricoles toxiques (loi Duplomb) pour le vivant ou malmènent les budgets de la santé, c’est effectivement « politique ».
2) Précarisation des personnes malades : « Pour Muriel et Mikal, la loi sur le budget 2026 comporte son lot de régressions sociales. C’est le cas des indemnités journalières des personnes en affectation longue durée qui seront assujetties à l’impôt. « Une fois encore, les économies se font sur le dos des malades », regrette Muriel».
Ceux qui font ces choix « politiques », qu’ils s’abstiennent ou votent pour le PLFSS, prennent des décisions qui pourront un jour leur être reprochées au motif de la non-assistance à personnes en danger ou de la complicité de mise en danger d’autrui.
Après tout, ce n’est pas parce qu’ils sont aujourd’hui puissants et protégés par une presse complice que demain ils ne devront pas rendre des comptes à la justice. Comme Nicolas.
Muriel, Mikal, bravo pour votre lutte.
Continuez le combat !
Cela pose des questions sur le droit local : ce sont nos impôts qui payent tout cela !